from the stars. (leo)

carte d'identité
Nom de famille Graham de ton nom … inutile d’épilogue durant des lustres. Ta famille n’a rien fait d’extraordinaire. Ce ne sont pas non plus des sang-pur connus et reconnus. Tes parents sont des sorciers très classiques qui se sont installés dans un petit village perdu au fin fond de l’Australie.
Prénom(s) & puis tu t’appelles Leonidas. C’est un prénom qui a de glorieuses origines, mais si tu l’aimes, c’est en grande partie parce qu’il peut se rapporter aux étoiles via la constellation du Lion.
Surnom(s) On t’appelle très généralement « Leo », tu supposes que c’est plus simple pour la majorité des gens, moins pompeux aussi parait-il. Toujours est-il que tu t’en fiches, ton prénom n’en perd pas forcément de sa signification, au contraire, et puis tu n’es pas homme à râler pour ce genre de choses.
Ascendance Tu es de sang-mêlé et honnêtement, tu n’as que peu de préoccupations pour ces histoires de pureté de sang. Tu descends d’une large lignée qui n’a jamais eu aucun souci à se mélanger aux moldus.
Age Trente-quatre ans très exactement.
Date et lieu de naissance Tu as vu le jour quelque part dans la campagne Australienne dans la toute petite maison de tes parents par un 19 aout relativement chaud et sec.
Sexualité Hétérosexuel. C’est tout.
Métier Professeur d’Astronomie à Tjukurpa. Pour être tout à fait honnête, tu n’as jamais réellement pensé à l’enseignement. Tu as quitté cette école il y a bien des années après y avoir fait de longues études qui n’ont finalement abouties à rien. Tu as passé une partie de ta vie à faire des recherches dans ton coin, tu as publier quelques bouquins … et puis tu as eu envie de changement et ton dossier à tout simplement été accepté. C’est ta première année en tant que professeur.
logement Tu n’as pas souhaité assumer un appartement, ou même une maison bien à toi. Sauter le pas et avoir un vrai chez toi te paraissais … presque insurmontable étrangement. Du coup, tu vis tout simplement à l’école et ça te vas très bien comme ça.
Caractère
Tu as toujours la tête dans les étoiles, Leo. Le ciel et ses mystères, c’est une véritable passion pour toi, une passion depuis l’enfance. C’est ton père qui te l’a transmise, lorsqu’il t’emmenait, le soir au beau milieu des champs à perte de vue pour observer l’immensité et la splendeur de ce plafond à la fois si sombre et lumineux. Très vite, tu n’as eu qu’une envie : en percer tous les secrets et ce rêve aussi fou qu’impossible sans doute ne t’as plus jamais lâché. Tu es particulièrement curieux, tu as une soif d’apprendre que toutes les connaissances du monde semblent incapables d’étancher. Tu peux passer de longues heures à coucher sur du parchemin chacune de tes découvertes … tu adores écrire. Chacun des livres que tu as eu la chance de faire publier est une véritable fierté pour toi.

Tu sembles un peu renfermé, parfois. Tu sais, comme dans ton monde. Ça peut faire peur et en rebuter certains, tu en est parfaitement conscient. Mais tu es comme tu es, tu estimes ne pas avoir à changer ton essence pour plaire à autrui. D’ailleurs, tu ne cherches pas vraiment à plaire. Si tu as déjà ressenti l’amour, tu l’as enfoui tout au fond de ton cœur, enfermé, avant de jeter la clé au loin. Un amour interdit. Des sentiments que tu n’as pas le droit d’éprouver, de ressentir. Au final, tu fuis. Tu n’es vraiment pas certain de pouvoir faire l’impasse sur celle que ton cœur désire réellement, alors tu préfères la solitude à une éventuelle souffrance pour toi, comme pour une autre personne.

Tu es souriant. Tu possèdes ce sourire doux, encourageant et à la fois si rassurant. Un sourire toutefois loin d’être éclatant, sans doute empreint d’une certaine tristesse, une souffrance lointaine et étouffée. Tu es un peu naïf aussi, sans doute. Tu aime à croire que les choses peuvent toujours aller en s’améliorant et si tu n’es pas du genre à pousser tes élèves au travail acharné, tu es en revanche de ces professeurs qui ne peuvent s’empêcher d’offrir de leur temps mais aussi de leurs encouragements sincères. Peu importe le niveau, les compétences, les notes, les préférences, le sang. Tu n’écoutes rien des préjugés, des rumeurs. Tu aimes tout simplement transmettre ton savoir et mine de rien, il n’y a rien que tu n’apprécies plus qu’une oreille attentive et des yeux grands yeux ouverts durant tes cours.

Tu ne connais pas le conflit … du moins, tu ne l’as pas connu depuis bien longtemps et tu fais en sorte de l’éviter au maximum. Tu dissimules en toi une passion qui pourrait être dévorante. Tu te sais capable de violence, une violence inouïe que tu peines à contrôler lorsqu’elle se manifeste. Cependant, tu es parvenu à sceller cette part de toi il y a déjà bien longtemps. Il est donc bien rare de te voir t’emporter et tu te contentes de répondre aux provocations par un simple sourire - qui peut devenir agaçant à la longue, tu en conviens – et une extrême politesse qui pourrait paraitre exagérée

Baguette Magique
Bois Orme.
Cœur Poudre de météorite.
longueur 26.4 cm.
caractéristiques Souple.
animal de compagnie
Nom de l'animal Moon.
Race Hibou. Plus précisément un Nyctale de Tengmalm.
Description physique Marbré blanc et marron très clair. Moon n'est pas bien grand, pas bien gros non plus malgré son épaisse couche de plumes. Des yeux ronds et bien jaunes qui peuvent être relativement effrayant tant ils brillent et son visibles à la nuit tombé grâce à la lueur de la lune.
Description moral Moon est un animal fidèle cependant ... il reste un hibou. Il n'est pas particulièrement affectueux mais jamais tu n'as eu a subir du moindre coup de bec. Il a toujours su délivrer et te livrer le courrier et tu n'as jamais eu le moindre soucis de ce côté. Il n'apprécie pas forcément la compagnie humaine, même la tienne, il se contente de remplir son rôle et lorsqu'il ne le fait pas, il est relativement libre de ses allers et venus. En clair, il n'y a pas de relation forte ou particulière entre toi et Moon, tu y tiens cependant énormément.
questions en plus
Miroir du Riséd Elle.
Amortentia Foin frais, fruits rouges, savon.
Patronus Un chat, tout ce qu'il y de plus banal.
Epouvantard Ses deux parents qui le fixent durement.
Riddikulus Ils gonflent tous les deux et finissent par s'envoler...
don / créature / capacité Nope, nope.

citation
_ Tu es né dans la maison de famille. C’était presque une tradition, dans ta famille, ta mère tenait à tout prix à avoir ses enfants chez elle, dans son foyer, dans celui dans lequel ils grandiraient. Elle se fichait complètement de la douleur, ne faisait pas non plus grand cas des avertissements quand aux possibles risques qu’elle prenait. En fait, elle a toujours été sûre de ses choix et c’est quelque chose que tu as toujours admiré chez elle. Cette capacité à s’opposer aux idées reçues, à faire barrière de son corps face aux langues de vipère et surtout, cette capacité hors du commun à donner des leçons sans le vouloir, juste en agissant le plus naturellement au monde. Ta naissance s’est faite sans soucis particulier. Tu as grandi ici, dans cette jolie maison isolée au beau milieu des champs … un environnement de rêve pour toi. Surtout à cause du ciel particulièrement dégagé que pouvait t’offrir chaque nuit que tu passais là-bas …

_ Ton père n’avait jamais été un homme de science … bien au contraire, tes deux parents avaient toujours été des gens simples mais dotés d’une grande culture qu’ils avaient acquise en vivant, tout simplement. C’est lui qui t’a montré la voie des étoiles, lui qui t’a fais découvrir ce qui allait devenir ta passion, et bien plus tard encore, ton métier. Chaque soir, il t’emmenait dehors à l’écart des torches qui éclairaient la maison, il te faisait t’allonger dans la paille fraichement coupée, et il restait avec toi durant de longues heures pour te montrer chaque étoile, chaque constellation. Lorsque tu as commencé à grandir, il a cessé de le faire mais toi, tu as continué d’y aller seul. Tous les soirs, sans exception.

_ L’un des évènements les plus marquants de ta vie fut sans aucun doute possible la naissance de ta jeune sœur. Il est vrai que la solitude commençait à te peser et lorsqu’elle a vu le jour, tu as vu en elle l’occasion de partager à nouveau tes passions et peut-être de transmettre à ton tour ce que ton père t’avais appris. Malheureusement, ta joue ne fut que de courte durée puisque quelques mois après sa naissance seulement, la sentence tomba ; elle était malade. Une maladie respiratoire qui aurait probablement pu être soignée si tes parents avaient voulu faire appel à de vrais médicomages. Cependant, a la place, pour lui permettre d’aller mieux et de préserver ses alvéoles bien trop fragiles ils décidèrent tous les deux de se séparer de la petite fille en la confiant à de la famille, loin, très loin de votre foyer … loin de toi, aussi.

_ A onze ans, comme tous les enfants de cet âge, tu entras à Tjukurpa pour y faire tes études. Tu étais un élève plutôt brillant dans certaines matières mais obtenant des résultats plus mitigés dans d’autres. A la fin de ta dernière année, tu ne continuas pas dans la voie des études, préférant te concentrer à tes recherches en Astronomie. Plusieurs années s’écoulèrent durant lesquels tu vécu simplement en ermite, chez tes parents. Néanmoins, tu ne chômais pas puisque trois livres furent écris et illustrés par tes soins à cette période de ta vie, des livres qui eurent d’ailleurs un succès auquel tu ne t’attendais pas.

_ Mais encore une fois … la vie vint te surprendre et sans prévenir, un beau matin, tu te retrouvais nez à nez avec elle. Ce fut probablement ce que l’on appelle un coup de foudre instantané. Elle te marqua, d’un simple « bonjour » pour le reste de ton existence. Son visage t’était inconnu, son sourire l’était tout autant et pour la première fois, tu ressenti le désir de partager ton existence avec quelqu’un. Oui. Ça aurait pu être un beau tournant dans ta vie, tu sais. Mais ça ne dura pas bien longtemps, cette ébauche de rêve se transforma en cauchemar lorsque tu appris qu’elle était ta sœur, revenue au pays, parmi les siens. Tu fis tout ce qui était en ton pouvoir pour tenter d’enfermer tes premières impressions, tes sentiments naissants, mais plus tu la côtoyais, plus ils semblaient intenses et pour finir, tout ça te faisait souffrir plus de raison. Tu pris alors la décision de quitter le nid familial pour de bon et quand l’occasion de changer de voie se présenta, tu te jetas dessus, te lançant dans l’enseignement pour la première fois de ta vie, sans même savoir si réellement, cette vie là était faite pour toi.