Exaucer un vœu, ce n'est que mentir un peu plus ▬ Haydn

carte d'identité
Nom de famille Jones, comme une majorité d’anglophones dans le monde. Ce n’est pas Smith non plus, mais ce n’en est pas loin.
Prénom(s) Haydn. Tu souris déjà en voyant la tête des profs qui ne ne te connaissent pas. Haydn, ça se prononce comme Hayden ([hahyd-n])  et ce n’est pas une faute de frappe. C’est juste là pour faire chier les gens, un peu comme toi.
Surnom(s) Il y en a, en a eu et en aura, mais tu ne te souviens jamais d’eux, parce qu’ils ne te définissent pas.
Ascendance Tu racontes toujours que tu es né-moldu, que la magie n’était pas prévue dans ton sang mais qu’elle t’a choisi et s’est épanouie en toi pour une bonne raison. Parce que toi, tu le mérites vraiment.

Age 18 ans
Date et lieu de naissance Sur ça, aucun doute, tu es né un 1er Janvier 2001, c’est inscrit sur la gourmette à ton poignet. Tu viens parfois d’Europe, souvent d’Amérique, personne ne le sait vraiment.

Sexualité Tu n’aimes que les femmes, voyons !

Année 6ème année.
Caractère
Quand une fille te regarde, c’est le charisme qu’elle remarque en premier. Tu ne peux pas le cacher, tu as cette aura autour de toi qui brille. Tu sais instantanément te placer par rapport aux autres pour te mettre en avant, et attirer les regards. C’est ce qui leur plait, aux donzelles, alors tu en joues. Tu affiches le parfait petit sourire, entre énigme, espièglerie et flirt. Tu les regardes, jamais trop longtemps, pour leur dire qu’elles existent aussi à tes yeux, mais que tu pourrais de suite passer à une autre. Tu parles avec douceur, avec une sincérité qui fait vibrer ta voix lorsque tu t'intéresses à elles. Quand elles cherchent à en savoir plus sur ce garçon qui les attire, tu contes ta vie avec une émotion prenante, même si les informations ne sont jamais les mêmes. Tu les émeus, les touches, les obsèdes et ça te fait vibrer au fond de toi. À chaque fois tu réponds parfaitement à ce qu’elles cherchent ou ne pensent pas chercher, te faisant une emprise un peu plus forte sur la réalité.

Dans les yeux de tes amis, un groupe de jeunes hommes de ton âge, c’est ta joie de vivre qui transpire le plus. Tu ris toujours, ou presque. Quand il y a une blague à faire, une idée saugrenue pour profiter du temps qui passe, elle vient presque toujours de toi. Et même si ce n’est pas le cas, tu la soutiens jusqu’à te l'approprier. Souvent, tu incarnes leurs désirs, leurs rêves. Tu as tout vu, tout tenté, ou tu es partant pour le faire. S’il faut se débrouiller pour organiser une activité hors-norme, tu t’en charges. Parce que contrairement à eux, tu es démerde et mature, tu sais vivre par toi-même et les responsabilités ne te font pas peur. C’est pareil en cours, d’ailleurs… Tu n’hésites pas à les protéger, à les excuser, à parler pour eux, car toi, ça ne t'impressionne pas un prof. Tes potes t’adorent pour ça. T’es le bon gars, le mec fiable sur qui ils peuvent compter et dont les incessants changements d’histoires, de raisons ou d’anecdotes ne sont que des blagues bien trouvées.

Quand les professeurs te convoquent, ils désespèrent. Comment pourraient-ils en faire autrement ? Tu es un cancre, un élève qui ne veut pas rentrer dans le moule et qui influence les autres de surcroît. Mais lorsqu’ils voient l’inquiétude dans ton regard quand les reproches arrivent, ils imaginent l’ombre d’un gamin perdu qui cherche sa place et ils se calment. Ils savent que tu es tenace même si tu rêves beaucoup. Ils sont persuadés qu’avec un peu de discipline, tu serais un excellent élève. Ils t’ont tous tendu la main, et tu acceptes à chaque fois en prétextant une nouvelle raison pour expliquer ton comportement. Et même si ça les fait tiquer, ils connaissent ton dossier d’inscription et ils te pensent juste un peu perturbé.

La vérité, c’est celle que tu vois dans le miroir de la salle de bain. Tu es plein de positivité et d’envie de vivre. Tu as une force qui ne correspond pas à ton âge, ainsi qu’une intelligence certaine. Mais t’es pas dans le corps qui devrait t’aller. T’es un vieil aigri, dans le corps d’un enfant. Tu as été dégoûté de la vie avant l’enfance et maintenant tu ne cherches qu’à rattraper le temps perdu. Enfin, tu crois ?

La vérité, Haydn, c’est que tu mens tellement que tu n’es même plus certain que tes souvenirs sont les bons.

Baguette Magique
Bois Erable
coeur Plume de phoenix
longueur 27,6 cm
caractéristiques Extrêmement souple et flexible
animal de compagnie
Tu n’as actuellement plus d’animal de compagnie, mais comme tu aimes le raconter, tu as été entouré d’animaux domestiques toute ta vie.
Nom de l'animal réponse ici
Race réponse ici
Description physique blanc, noir, gris, tacheté, rayé, a poil ras ou à poil long, donnez nous des détails !
Description moral Est-il plutôt calme, joueur, sauvage ?
Comment vous l'avez trouvé ? Racontez nous brièvement ce que votre personnage à ressentit en trouvant l'animal et pourquoi celui là et pas un autre.
projet scolaire
Tu racontes à tout le monde que tu seras auror. Même si tes notes sont terribles et que tu as dû recommencer ta 4ème année deux fois pour avoir le niveau puis que tu as eu tes R.E.V.E.S dans la limite basse. Lorsque les autres, étudiants ou profs, tentent de te raisonner, tu claironnes haut et fort que ce qu’il faut pour être un bon auror, c’est la détermination et la force, pas de stupides notes. C’est si criant de vérité que souvent on ne te répond pas et que tu peux y croire un peu toi aussi. C’est un rêve, mais tu n’as rien d’autre pour l’instant.
Quant à tes notes à l’examen, tu as clairement risqué de redoubler encore une fois.
O en DCFM (même celui-là, personne ne s’y attendait). E en sortilège et vol. A sur tout le reste, à part la botanique ou tu as eu un immanquable P (tu as une malédiction avec les plantes, elles te détestent visiblement).
Quant à tes options, tu les as prises comme on choisit des numéros en divination (enfin à tes yeux) : Soin aux créatures magiques et études des moldus. Le premier pourrait être intéressant, mais tu préfères roder dehors que d'écouter le prof. Le second est ennuyant à mourir puisque tu dis tout savoir.
questions en plus
Miroir du Riséd Toi, recevant les remerciements du Ministre de La Magie pour ton travail d’Auror, et tenant à ton bras la plus belle femme du monde.

Amortentia L’odeur du chocolat au lait, du parfum d’une bougie à la fraise et le sucré des patacitrouilles, ça t’a échappé la première fois que tu as senti la potion. Depuis, tu en as donné bien d’autres définitions.
Patronus Franchement, tu dois avouer que tu as mis du temps à comprendre ce que c’était quand tu as réussi à le former l’an dernier. Un petit ours ? Un loup poilu ? En fait, c’est un chien, mais ton prof t’a dit qu’il ressemble plus au samoyède qu’au berger allemand. Quand t’en a vu un dans la rue, tu as ris. Ton patronus est un nounours qui bave, good job, Haydn.
don / créature / capacité Le mensonge, ça compte ? Sinon, tu as un réel talent pour les sortilèges d’illusions, comme par hasard.
répartition
A l'issue de ce questionnaire, le staff vous attribuera lui-même une maison ! Répondez bien !
Dans quelle Maison voudrais-tu être ? Pourquoi ? Franchement, ça ne te fait ni chaud ni froid. Déjà est-ce qu’on t’a réparti pour ce que tu es ou ce que tu sembles être ?
Quel type de baguette magique voudrais-tu avoir ? Ca dépend des jours et de tes humeurs. Parfois tu voudrais la baguette la plus puissante du monde pour te venger d’un vieux souvenir. D’autres, tu en souhaiterais une fine et grâcieuse pour ajouter un peu d’étoiles dans le regard de ta cour.
Oh non ! Vous venez de tomber sur un Epouvantard ! Quelle forme prend-il ? Une seringue. Ouais, c’est con mais tu déteste ça, tu pourrais défaillir quand tu en vois une.
Riddikulus ! A quoi ressemble-t-il maintenant ? Elle s’est transformée en pétard surprise pour sorcier qui tire un millier de patacitrouilles.
Préféreriez vous être un Animagus ou un Métamorphomage et pourquoi ? Métamorphomage sans aucune hésitation. Tu voudrais toujours pouvoir te modeler à la perfection des yeux des autres. Etre capable d’incarner complétement tes mensonges et devenir un autre, au moins pour quelques instants.
Si vous appreniez à devenir un Animagus, quel animal choisiriez vous et pourquoi ? Qu’est-ce que tu en sais, toi ? Franchement un oiseau pour t’enfuir loin de tout ça ? Ou un chien-nounours poilu et baveux pour pouvoir peloter des filles sans t’attirer d’ennui ?
Ta plus grande qualité c'est quoi ? Charismatique

« Ma vérité mourra avec moi, mon mensonge me survivra. »
Une histoire doit toujours être écrite, parce que lorsqu’elle reste orale, elle finit immanquablement par être modifiée, erronée, ou perdue. C’est un peu ça, toute l'ambiguïté de ta vie. Tu ne notes jamais rien parce que tu préfères que l’on puisse jouer avec la vérité pour en tirer quelque chose de nouveau. Pourtant, l’histoire, la vraie, la tienne, elle est inscrite en dure en toi, sur toi. Il te suffit de relever les yeux et regarder ce reflet nu dans le miroir  lorsque tu sors de la douche pour la lire, encore une fois.

Tu es un garçon, né comme tel il y a 18 ans. Le début de ton histoire n’a rien de très original. Tu as étais destiné à faire dans l’attendu et le commun. D’abord, le jour de ta naissance. Tu étais prévu à terme pour le 1er janvier, et tu es né ce jour-là, à Melbourne, en milieu de journée. Tu es arrivé rapidement, mais pas trop, avec une douleur vive de l’accouchement, sans épuiser ta mère. La sage-femme a annoncé que tu étais dans les normes, et ça aurait dû conditionner ta vie.
Quand tu as ouvert les yeux, pourtant, elle s’est figée sur une expression paniquée. Ta mère a eu plus peur ce jour-là que lorsque tu es tombé dans les escaliers en te mettant sur tes deux pieds, 15 mois plus tard. On a fait venir un médecin, qui a lui aussi eu l’air surpris. C’est à cause d’eux que tu n’as pas pu toucher ta mère avant plusieurs heures. Quand tu l’as enfin fait, tu avais cessé de hurler pour la chercher depuis longtemps.
La première ligne de ton histoire était écrite.

Tu n’as pas vraiment gardé de souvenirs de ta vie avec elle. Grace, parce que c’était son prénom, a tenté de t’éduquer correctement même si elle n’en était pas capable. Elle n’avait ni l’argent, ni le lieu, ni la compréhension pour réussir, mais elle t’aimait sincèrement. C’est pour ça qu’elle a vraiment essayé et qu’elle a pris les décisions qui lui semblaient les meilleures pour toi. Elle a fait ce qu’elle pouvait et comme tu l’as compris, tu ne lui en veux pas.
Ton incipit est une gourmette que tu traines partout avec toi. Celle avec ton prénom et ta date de naissance. Tu ne sais pas comment Grace a pu te l’offrir, mais tu te souviens de toujours l’avoir eu avec toi. Et c’est ta plus forte attache avec la vérité. Parce que ce sont les deux choses sur lesquelles tu ne peux pas mentir…

Tu attrapes ton cache-oeil noir, sobre, sombre et tu le passes sur ton visage humide. C’est ton plus vieux et ton plus fort souvenir. Tu avais 3 ou 4 ans, et Grace avait prévu un petit voyage. Tu ne savais pas où vous alliez, mais tu étais content de pouvoir passer du temps avec celle que tu ne voyais que peu et dont tes tours de passe-passe causaient émois et larmes. La suite du souvenir est flou, mais tu revois la voiture démarrer à nouveau et toi attendre dehors, jusqu’à ce que tu comprennes. Ta mère était repartie sans toi.
Le chapitre 1 est souvent le plus triste, et c’est le cas pour toi aussi. Tu as pleuré toutes larmes de ton corps, hurlé, attendu, pourtant elle n’est pas revenue. L’homme avec qui elle avait passé la journée est finalement revenu et t’a entraîné dans sa maison. Il a essayé de t’expliquer les choses, mais tu avais déjà fermé ton coeur et tes oreilles à sa voix grave et lente. À la place, tu as cassé tout ce que tu as pu, tu as hurlé, tu t’es roulé au sol, jusqu’à rester mort de fatigue par terre. Et c’est dans cette position que tu as vu son regard accroché à toi. Détaillant ton visage. S’arrêtant sur tes yeux. Volant ton enfance.
Tu as trouvé le cache-oeil dans une commode le lendemain, comme par magie, et tu ne l’as plus jamais quitté. C’est ton mur contre la réalité et ta cape de super-héros.

L’eau cesse de goutter de ta peau hâlée. Dessous, les muscles roulent et tu sais qu’il n’y a plus vraiment d’histoire à partir d’ici. Tous les chapitres suivants sont des suites ratées.
Grace n’est pas revenue, le chapitre 2 est mort dans l’oeuf, raillé et raturé.
William Barnett, ton tuteur légal (il n’a à tes yeux aucune autre appellation et lui-même n’a jamais cherché à en avoir), t’a traîné partout avec lui, te faisant voir le monde et éveillant ton esprit sans ne laisser aucune place à l’innocence de tes jeunes années. Vous habitiez en Australie, mais tu le suivais pour chaque vacance, chaque déplacement. Un chapitre 3 en longueur, traînant et redondant que l’on veut oublier vite.
Il y a bien eu quelques pages heureuses, vraiment heureuses, dans ton livre. Il y en a une en particulier qui t’a fait vibrer un long moment avant que tu tires un trait dessus, encore une fois. Un chapitre sans nom, mais si tu avais dû lui donner un titre ça aurait été son prénom à lui. Un gamin comme toi. Même âge, voisin, heureux et plein de vie. L’Ami, le vrai, celui qui te comprenait. Tu n’aurais pas voulu de lui en frère, parce qu’on se bat avec son frère. Non, lui c’était le confident, le meilleur ami, l’intrépide aventurier. Vous vous êtes même dit que vous étiez comme des âmes soeurs. Jusqu’à ce que tu disparaisses de sa vie étrangement. Un voyage avec William, pendant les vacances d’été, et quand tu es revenu, il n’était plus là. Point, à la ligne. Un chapitre bâclé...
Tu as fini par haïr cette vie, et tu t’es mis à mentir pour te donner l’impression de t’échapper d’une fatalité que tu n’as jamais choisie. Et lorsque tu as fait ça, tu as vu les étoiles dans le regard des autres. Tu t’es surpris à aimer ça, et le maîtriser avec facilité. Tu as donc développé cet art à un point qui frôle la perfection, rayant de ton esprit tous les passages en noir et blanc de ton passé. Tu as toujours adoré la couleur du mensonge ! À partir de là, tu as cessé d’écrire. Parce que ne rien poser sur papier permet d’éviter les questions, c’est réinventer le passage à chaque fois.

Finalement tu enfiles ton uniforme de l’école magique. Tjukurpa. Tu as atterri ici à tes 11 ans et depuis tu suis les couloirs comme si c’était chez toi. C’est à la fois ton foyer, ton terrain de jeu et ta cour royale. Tu as réinventé mille fois ce que tu étais auprès de ces gens pour te sentir vivre et pour ça, tu aimes cet endroit, tes amis, les filles ou les profs. Tu aimes Tjukurpa et si tu le pouvais, tu t’arrangerais pour ne pas en partir trop vite... Mais ça, c’est la suite. Et elle n’est pas écrite, et tu ne veux pas le faire toi-même. Arrêtant là la lecture d’une oeuvre ratée bien trop souvent parcourue, tu t’enfuis de la salle de bain. Il y a encore fort à faire aujourd’hui !

Trivia :

Citation :

▬ Il n’a jamais cherché à retrouver sa mère Grace, aussi étrangement que cela puisse paraître. Il s’est persuadé que c’était par respect pour elle, pour le courage qu’elle avait eu. La vérité, c’est qu’il est complètement terrifié de découvrir ce qu’elle est devenue… ou qu’elle ne veuille plus le revoir.
▬ Il n’a jamais cherché son père et refuse d’en entendre parler. Il n’a aucune information dessus et c’est aussi bien comme ça.
▬ William Barnett est inscrit sur tous ses documents administratifs comme son tuteur légal. Lui et Haydn ont une relation très distante et intellectuelle. Ils sont capables d’échanger sur des sujets très communs comme plus spirituels ou philosophiques, mais il n’y a aucun sentiment entre eux. Haydn a toujours refusé de fouiner pour savoir si William l’avait recueilli légalement ou pas, ni ses raisons. Et ça fait des années que William a cessé d’essayer de lui expliquer.
▬ Haydn fait parti des étudiants qui ne rentrent pour aucune période de vacances, si ce n’est l’été. Quand cette période arrive, il voyage avec William à travers le monde. À chaque fois, c’est un voyage différent, allant de la survie dans la forêt amazonienne, à la vie mondaine en Norvège, en passant par le voyage spirituel au Népal.
▬ Haydn ne bosse pas à l’école, mais il est complètement conscient qu’il pourrait survoler toutes ses difficultés ou lacunes très rapidement s’il se donnait la peine de travailler.
▬ Il a des notions dans plusieurs langues. Il n’est absolument pas dérangé quand il arrive dans un nouveau pays et il s’adapte avec facilité et apprend très vite.
▬ Totalement autonome, Haydn se considère comme majeur depuis des années. Il ne fait jamais savoir à William ce qu’il fait, achète, vend, ou où il va, etc. En cas de soucis, il assume également sa responsabilité sans se défiler.
▬ À la base, il n’est pas aussi fan que tout le monde du Quidditch, mais il a rapidement compris qu’il pourrait en tirer de bonnes choses. C’est l’un des rares domaines dans lequel il s’est investi et ça a payé puisqu’il a rejoint l’équipe de sa maison l’année dernière, avant de devoir rendre la casquette à cause de ses notes trop basses.
▬ Physiquement, c’est un grand gaillard. 1m80, musclé et élancé qui se sait attirant. C’est fou, mais dès qu’il a pris confiance en lui, Haydn a su tirer avantage de ses cheveux trop voyants ou de son cache-oeil bizarre.