carte d'identitéNom de famille Worthington est mon nom administratif. Mais dans la famille et quand on pratique la divination pour autrui, on utilise Mariska. Un nom transmis de mère en fille depuis des générations, car c’était elles qui possédaient le don.
Prénom Véga
Surnom /
Ascendance Sang pur sur quelques générations. Avant je ne sais pas trop ce que ça donne.
Âge 25 ans
Date et lieu de naissance 10/07/1993 à Mapple Town
Sexualité bisexuel (ambivalent)
Métier professeur de divination
Logement appartement du personnel
CaractèreJe suis un prophète qui ne vois que les choses qui vont se produire à 100 %. Je suis incapable de prédire les éventualités ou différents futurs. Si je vous prédis que vous rencontrerez quelqu’un d’important, c’est qu’aucune perturbation ne pourra altérer ce futur. Autre exemple : si vous voulez me déclarer votre flamme mais que vous ne savez pas comment, ni quand le faire, je serai incapable de le voir venir. Pour la simple et bonne raison que cette déclaration risque d’arriver sous le coup d’une impulsion. Et les impulsions ne se prédisent pas.
Je m’y connais en beaucoup de domaines : aéromancie, alomancie, pyromancie, astragalomancie, astrologie, taromancie, tasséomancie, libanomancie, cristallomancie, etc.
On compare souvent ma tête à celle d’un merlan frit, car j’ai toujours un air étonné ou ennuyé. En réalité, plus grand-chose ne me surprend et c’est un peu ennuyant justement. Sans m’en rendre compte, j’ai dû vouloir jouer le contraste.
Vous me direz pourquoi je n’arrête pas de lire l’avenir ? Tout simplement parce que l’inconnu m’effraye. J’ai peur de ce que je ne vois pas venir et aussi de ce que je ne connais pas. C’est pourquoi quand je suis pris de court, j’ai tendance à rejeter sans réfléchir. Ce n’est que lorsque je me retrouve seul que je réfléchis à ce qu’il vient de se passer et que je me dis que je n’aurais pas dû répondre ainsi.
On me dit que je suis déphasé. On me dit que je sors tout droit du célèbre conte
Alice aux Pays des Merveilles parce que mon comportement n’obéit qu’à mes envies. Je peux faire cours en ayant la tête en bas si ça me chante. Je ne me plie pas aux normes sociales. Qui a dit que s’asseoir sur une chaise devait se faire comme ça et pas autrement ? Moi, je fais ce que je veux.
J’ai une mauvaise mémoire des noms. En revanche mon cerveau est un grand album photo car il mémorise bien les visages.
Je s’habille que de noir et gris, mais j’apprécie les couleurs sur les autres. Ma garde-robe est assez simpliste. J’aime les vêtements amples, parfois trop grands. Et comme j’ai toujours chaud, je choisis des choses légères. Je porte très souvent des claquettes ou des sandales, j’aime avoir les pieds à l’air libre. Mais si ça ne correspond pas à mon style vestimentaire, alors je mettrais des rangers. Les deux extrêmes.
Funfact 1 : je suis doué avec mes pieds. C’est par ce biais que j’attrape toujours les petites choses au sol plutôt que me baisser. Et j’adore pincer les gens avec mes orteils. Vous êtes prévenu.
Funfact 2 : je possède des choses incongrues comme un œil en verre qui ressemble à s’y méprendre à celui d’un être humain. Il est couvert d’un sort incassable parce que je l’emmène partout avec moi, soit dans mes poches, soit dans mon sac. C’est un genre de porte-bonheur en rapport avec mon don.
Je suis un marginal. J’ai toujours aimé ce qui sortait de l’ordinaire, alors j’en ai fait mon style de vie. Très jeune, j’ai commencé avec mes cheveux, le vernis, le maquillage et m’épiler les sourcils. C’était facile à faire avec la magie. J’ai adopté bon nombre de couleurs et de coupes de cheveux avant de choisir celle que j’ai à présent. Mais je reste cantonné au vernis noir et au trait noir à la base de mes cils quand je prends le temps de me maquiller un peu.
Quand j’ai eu des revenus, j’ai commencé à m’acheter des sclera (ces lentilles qui recourent tout l’œil). Ça me coûte une main à chaque fois mais quand on aime, on ne compte pas.
Après cette lubie, je me suis attaqué aux piercings : oreilles, arcade gauche, deux labrets décalés à droite et un à la langue. Je ne suis pas allé plus loin parce que ça raccroche les vêtements et je n’aime pas. Et enfin le clou du spectacle, ce fut à ma majorité quand je suis passé aux tatouages. Je débutai de manière soft avec des tatouages disséminés sur mon ventre et un soleil noir sur mon pectoral gauche. Quand je me suis attaqué à mes bras, je devins inarrêtable. Ils furent inondés, ainsi que mes mains. Mes inspirations furent tribales et indiennes surtout. Le dernier en date fut celui autour de mon cou comme un nœud coulant passée à ma gorge. C’est une citation latine écrite en lettres grecques :
« Νεχ ποσσυμ τεχυμ ωιωερε, νεχ σινε τε. »
Qui se lit : Nec possum tecum vivere, nec sine te.
Et qui se traduit : I can live neither with you, nor without you.
— Martial, Epigrams XII, 46
Vous l’aurez deviné. Je suis un grand romantique et même un sentimental de manière générale. Je ne parle pas d’amour en abondance. Je dois en ressentir le besoin pour que ça sorte sinon j’ai l’impression de mentir. Et je suis plutôt le genre spontané à lâcher un « je t’aime » à n’importe quel moment, même pendant une dispute (car je déteste les disputes).
Je suis également très tactile, mais je ne suis pas collant. Je veux toucher les gens, avoir un contact physique même le plus insignifiant. J’aime me tenir épaule contre épaule ou poser une main ou un pied sur l’autre et parfois peut-être la tête.
Par contre lorsque je dors, je suis cette grosse larve qui s’étale sur l’autre, quitte à vous envahir.